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Du 20 juillet 2023 au 20 août 2023
Paul Lewis : La ville qui cache la forêt
La petite Place des Arts
Lieu : La petite Place des Arts
La petite Place des Arts
1781, chemin Principal
Saint-Mathieu-du-Parc, G0X 1N0
Coût : Gratuit
Date :
jeu, 20 juillet 2023 - 13h00 à 17h00
Toutes les dates
jeu, 20 juillet 2023 - 13h00 à 17h00
ven, 21 juillet 2023 - 13h00 à 17h00
sam, 22 juillet 2023 - 10h00 à 17h00
dim, 23 juillet 2023 - 10h00 à 17h00
mer, 26 juillet 2023 - 13h00 à 17h00
jeu, 27 juillet 2023 - 13h00 à 17h00
ven, 28 juillet 2023 - 13h00 à 17h00
sam, 29 juillet 2023 - 10h00 à 17h00
dim, 30 juillet 2023 - 10h00 à 17h00
mer, 2 août 2023 - 13h00 à 17h00
jeu, 3 août 2023 - 13h00 à 17h00
ven, 4 août 2023 - 13h00 à 17h00
sam, 5 août 2023 - 10h00 à 17h00
dim, 6 août 2023 - 10h00 à 17h00
mer, 9 août 2023 - 13h00 à 17h00
jeu, 10 août 2023 - 13h00 à 17h00
ven, 11 août 2023 - 13h00 à 17h00
sam, 12 août 2023 - 10h00 à 17h00
dim, 13 août 2023 - 10h00 à 17h00
mer, 16 août 2023 - 13h00 à 17h00
jeu, 17 août 2023 - 13h00 à 17h00
ven, 18 août 2023 - 13h00 à 17h00
sam, 19 août 2023 - 10h00 à 17h00
dim, 20 août 2023 - 10h00 à 17h00
La canopée, a-t-on observé, a tendance à diminuer dans certaines villes, pour différentes raisons qui trouvent leurs racines dans nos façons d’occuper le territoire. Néanmoins, les arbres sont souvent très présents dans l’espace urbain, au point de former une forêt qui se distingue bien du haut des airs, mais aussi en arpentant les rues, pour autant que nous y soyons attentifs.
Nous n’apprécions pas toujours cette forêt ordinaire à sa juste valeur. C’est cette forêt qui m’intéresse ici, si ce n’est qu’elle contribue à faire la ville et à déterminer nos façons de l’habiter. Avec ces photos, je questionne la présence des arbres (et des plantes) dans la ville, leur signification, leur contribution, mais aussi leur capacité à se rendre invisibles ; ce faisant j’interroge aussi notre propre place dans la cité, comme les êtres anonymes que nous sommes le plus souvent, les uns pour les autres. Les arbres et les plantes sont en un sens une métaphore de la condition humaine : ils sont nombreux, et passent très souvent inaperçus, comme tous ces gens que nous croisons dans nos errances quotidiennes.
