Philippe Boissonnet : deux expositions collectives internationales cet automne

Il s’agit d’un automne chargé pour l’artiste Philippe Boissonnet qui participe à deux expositions collectives internationales, l’une en Espagne et l’autre à Montréal.

Deux sculptures holographiques en Espagne

Du 5 octobre au 31 décembre, deux sculptures holographiques de l’artiste (Artist Holo Memories et Perspicere, 2018) se retrouveronnt dans l’exposition collective Rastreo Holografico au Centre d’art et holographie Dados Negros, situé  à Villanueva de les Infantes (Ciudad real) en Espagne, aux côtés des œuvres de 11 autres artistes.

Hommage à des pionniers de l’art électrographique au Québec

Puis, Boissonnet prendra part à l’exposition 45 ans d’art électrographique au Québec, à la Société des arts technologiques (SAT) à Montréal du 11 octobre au 9 novembre. L’artiste mauricien se retrouve aux côtés de québécois Jacques Charbonneau (Fondateur du Centre Copie-Art de Montréal) et de l’artiste allemand Georg Mülheck, deux autres artistes qui ont contribué à l’expansion et à la reconnaissance de l’art électrographique dans les dernières décennies.

Philippe Boissonnet y présente deux œuvres de grand format (1984-2022) en électrographie et en photo lenticulaire. L’exposition propose également une sélection d’œuvres de 51 artistes du Canada, des États-Unis, d’Europe et d’Australie ayant gravité autour de la Galerie Motivation V, du Centre Copie-Art et de sa Galerie des Arts Technologiques, et qui font aujourd’hui partie de la collection du Centre Copie-Ar

Description de l’exposition : « Alors que les enjeux croissants liés à la création artistique et à l’intelligence artificielle sont sur toutes les lèvres, la SAT rend hommage à une période essentielle et souvent méconnue de l’histoire de l’art au Québec, qui a profondément marqué l’écosystème artistique contemporain »

Le vernissage aura lieu le 10 octobre. Philippe Boissonnet prendra également part à une rencontre publique gratuite le samedi 26 octobre prochain, à 16 h, en compagnie de Jacques Charbonneau.

Source : Philippe Boissonnet